GABON : Vers un renforcement des conditions de protection consulaire.
Suite aux multiples complications occasionnées par la pandémie de Covid-19 qui continue à sévir dans le monde, plusieurs Etats mettent en place des mécanismes permettant de renforcer la protection et l’assistance de leurs ressortissants à l’étranger. C’est le cas du Gabon qui, entend améliorer son système de protection et d’assistance des compatriotes séjournant ou résidant à l’étranger. Ladite annonce a été faite à l’occasion du Conseil des ministres du 17 décembre 2021 au cours duquel un projet de Loi portant protection ou assistance consulaire des gabonais de l’étranger a été adopté.
Pris en application des dispositions de la Constitution, l’ambition des autorités est de disposer enfin d’un texte qui définit les conditions d’exercice de la protection consulaire. Ainsi, ledit texte s’intéresse aux situations arbitraires auxquelles les Gabonais de l’étranger peuvent être confrontés, tout comme il met l’accent sur la protection de la dignité humaine, la protection des enfants et des personnes en situation de détresse. En outre, il se penche sur les questions relatives aux cas de décès, de disparition, d’accident grave, de crime grave dont est victime un Gabonais, d’arrestation ou détention, de catastrophes naturelles ou de crises politiques, entre autres. Toutefois, le texte précise que l’aide apporté par l’État ne sera pas financière, mais plutôt d’ordre administratif et juridique.
(Service Analyse des Médias-DCCOM)
Suite aux multiples complications occasionnées par la pandémie de Covid-19 qui continue à sévir dans le monde, plusieurs Etats mettent en place des mécanismes permettant de renforcer la protection et l’assistance de leurs ressortissants à l’étranger. C’est le cas du Gabon qui, entend améliorer son système de protection et d’assistance des compatriotes séjournant ou résidant à l’étranger. Ladite annonce a été faite à l’occasion du Conseil des ministres du 17 décembre 2021 au cours duquel un projet de Loi portant protection ou assistance consulaire des gabonais de l’étranger a été adopté.
Pris en application des dispositions de la Constitution, l’ambition des autorités est de disposer enfin d’un texte qui définit les conditions d’exercice de la protection consulaire. Ainsi, ledit texte s’intéresse aux situations arbitraires auxquelles les Gabonais de l’étranger peuvent être confrontés, tout comme il met l’accent sur la protection de la dignité humaine, la protection des enfants et des personnes en situation de détresse. En outre, il se penche sur les questions relatives aux cas de décès, de disparition, d’accident grave, de crime grave dont est victime un Gabonais, d’arrestation ou détention, de catastrophes naturelles ou de crises politiques, entre autres. Toutefois, le texte précise que l’aide apporté par l’État ne sera pas financière, mais plutôt d’ordre administratif et juridique.
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Suite aux multiples complications occasionnées par la pandémie de Covid-19 qui continue à sévir dans le monde, plusieurs Etats mettent en place des mécanismes permettant de renforcer la protection et l’assistance de leurs ressortissants à l’étranger. C’est le cas du Gabon qui, entend améliorer son système de protection et d’assistance des compatriotes séjournant ou résidant à l’étranger. Ladite annonce a été faite à l’occasion du Conseil des ministres du 17 décembre 2021 au cours duquel un projet de Loi portant protection ou assistance consulaire des gabonais de l’étranger a été adopté.
Pris en application des dispositions de la Constitution, l’ambition des autorités est de disposer enfin d’un texte qui définit les conditions d’exercice de la protection consulaire. Ainsi, ledit texte s’intéresse aux situations arbitraires auxquelles les Gabonais de l’étranger peuvent être confrontés, tout comme il met l’accent sur la protection de la dignité humaine, la protection des enfants et des personnes en situation de détresse. En outre, il se penche sur les questions relatives aux cas de décès, de disparition, d’accident grave, de crime grave dont est victime un Gabonais, d’arrestation ou détention, de catastrophes naturelles ou de crises politiques, entre autres. Toutefois, le texte précise que l’aide apporté par l’État ne sera pas financière, mais plutôt d’ordre administratif et juridique.
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